Nous vous proposons des sorties et des ateliers pour vous relier à votre environnement et raviver votre conscience naturelle en lien avec les lieux visités.
Ce contact conscient avec la nature et avec les lieux est en chacun.e de nous et ne demande qu'à s'exprimer. Cela est aussi l'occasion de se connecter à soi-même, et de s'accorder une bouffée de joie, d'apaisement et d'émerveillement.

Marie-Claude Jeanneret 079 740 62 82 Jenny Carluccio 076 693 58 59

Journée en nature



Lors d'un parcours dans la nature, vous pourrez apprendre à ressentir des lieux et appréhender les principaux outils du géobiologue : le pendule, les baguettes, la bioénergie.
Vous pourrez reconnaître les points d'énergie vitalisante et faire connaissance avec des éléments d'influence de géobiologie.


Parcours Géobiologie


Esprit de la nature

Réenchanter la ville



Lors d'un parcours dans la ville, vous pourrez ressentir les énergies de différentes natures et percevoir le potentiel et la richesse du milieu urbain, au-delà des apparences.
Les villes ont été construites sur les terrains les plus favorables dans la vastitude qui se présentait. Elles comportent des énergies fastes qui ont traversé les temps.
Vous pourrez prendre contact avec une facette de la ville qui vous étonnera peut-être.


Lausanne


Genève

Ateliers



Les ateliers sont l'occasion d'approfondire et d'affiner l'utilisation des outils de géobiologie et de les mettre en oeuvre sur le terrain.
Chaque atelier se concentre sur un outil, afin de vous permettre d'en développer le potentiel : baguettes, pendule, bioénergie. .


Réseaux d'énergie tellurique


Radiesthésie


Bioénergie


Baguette magique

Articles


Quand l’école suisse de géobiologie nous demande si nous souhaitons donner un cours dans la région de Cluny en Bourgogne, nous sentons l’enthousiasme nous gagner. Nous n’avons pas encore exploré cette région riche de souvenirs celtes et berceau de l’art roman.
Le challenge est d'autant plus important que les cours portent sur la différentiation de vestiges romains et  celtes, par une approche énergétique et sur la recherche de lieux anciens par la géobiologie.

Il nous faudra donc trouver des lieux, à la fois propice à l’accueil d’un groupe et contenant les éléments d’étude : du celte et du romain. Notre terrain de jeu ? Toute la Bourgogne.

Nous choisissons d'explorer les alentours de Cluny, pas trop loin de Genève. Cela faisait longtemps que l’ancienne abbaye romane nous appelait. Cette fois, nous étions au rendez-vous.
Départ de Genève aéroport à 8h30, pour la partie en voiture.
Arrivée à Cluny à 10h00, la route nous amène dans une petite ville, pas très jolie, bâtiment contemporain, rien ne laisse présager de l'aspect historique.

Nous laissons la voiture dans un grand parking, et passons devant la billetterie de l'abbaye fermée. Samedi, jour de marché, nous suivons les gens équipés de paniers et sacs.
Au détour d'une ruelle, nous débouchons sur une rue médiévale, et arrivons près du marché, une jolie église romane, nous interpelle et nous rentrons dans Notre Dame.
Les églises romanes sont très simples, peu de statuaires et de décorum au contraire des édifices gothiques. A Notre Dame, les phénomènes telluriques sont très lisibles, au laser, francs et nets. La lumière y est sombre. Une grande douceur et une certaine lenteur en émanent. Le temps n’existe plus. Nous en perdons la notion dans la contemplation de cet endroit...

Les fonds baptismaux situés à droite, placés trois marches plus bas que la porte d'entrée, nous donnent un ressenti puissant de l’élément eau. D'ailleurs tout le bâtiment est humide avec, par endroit, des flaques au sol. 

Le lieu est ressourçant et alignant. Il nous semble bien adapté aux villageois et permet de recharger les batteries pour mener une vie active. Nous sommes toutefois loin des espérances que nous nourrissions secrètement de bénéficier d’un lieu à la hauteur de la grandeur clunisienne passée.

De retour au grand air, nous peinons à trouver la fameuse abbaye. Il y a bien une très haute tour dressée mais point de bâtiment monacale. C'est lors de l'achat des billets d'entrée que nous comprenons que Cluny, son abbaye, ses moines, n'est plus ni habitée, ni en fonction. Stupéfaction : elle est pratiquement entièrement détruite !

En regardant un petit film d'animation, nous comprenons la situation.
Cluny, la plus belle, la plus haute des cathédrales romanes a été utilisée comme carrière pendant la révolution, comme souvent en France pendant cette période.

En regardant un petit film d'animation, nous comprenons la situation.
Cluny, la plus belle, la plus haute des cathédrales romanes a été utilisée comme carrière pendant la révolution, comme souvent en France pendant cette période.
La maison mère des clunisiens, le centre spirituel du plus grand ordre monastique médiéval d'Occident, puissant et indépendant et en ruine. Seul un clocher nous laisse imaginer quelle fut sa splendeur.


Qu’à cela ne tienne, l’immersion dans le passé nous a permis de goûter la saveur de cette grandeur. Nous avons ressenti cette ferveur immense qui, une fois encore à mis l’humain en action, pour l’exprimer en pierre. Notre hypothèse est que cette expression ne s’est pas déposée au hasard et que cette grandeur a dû prendre sa source dans les racines même du lieu de son éclosion initiale. Nous nous mettons à la recherche du point d’émergence, de l'endroit fondateur.  Nous souhaitons nous reconnecter à l'âme du lieu, d’où tout est parti, avant toute distorsion : le point de pure lumière. Nous partons en quête à travers des bâtiments militaires style grande France 1700. Muni des plans du musée, nous comprenons difficilement l'agencement des trois bâtiments successifs.

 

Nous mesurons en outre le décalage entre ce que nous recherchons et l’énergie guerrière, avide de pouvoir qui se dégage des murs érigés sous Napoléon ??


Et enfin, dans le dédale des constructions de différentes époques, nous arrivons  dans un endroit discret derrière des murs. Là, gît une dalle en pierre, très simple et rustique.  Historiquement elle est ce qui reste du premier autel qui ait été édifié en ces lieux. Enfin, il nous semble ressentir une vibration confortable, lumineuse. Nous nous connectons de plus en plus profondément à ce point. Se dévoile alors à nous la puissance, le retour aux sources celtes du lieu et sa lumière intrinsèque bien plus ancienne encore. Nous comprenons cette magnificence que les moines en leur temps ont élevée en cathédrale. Instant clunisien magique. Nous pouvons continuer notre journée marquées par la qualité particulière de ce lieu. Nous avons le sentiment d'être entrées là où nous voulions aller, au-delà des temps, à la croisée des lieux.



Bien-être énergétique et habitat
Conférence, Atelier – Samedi 14 mai 2022, 13:00 - 17:00
Salle Cluny, Bâtiment du Château, Place du Marché, 1530 Payerne
Cette conférence-atelier abordera différents thèmes : nettoyage énergétique d’un lieu,
influence des ondes de forme, qualité d’un lieu selon son taux vibratoire, Feng-shui, etc.
Pour terminer, la construction d’un Triskel au sol selon les techniques des anciens bâtisseurs
vous sera présentée, suivie de différents ateliers sur la mise en pratique des outils
Intervenant :
Jenny Carluccio sophrologue, géobiologue
Marie-Claude Jeanneret sourcière, géobiologue
Membres : CHF 60.- Non-membres : CHF 80.-
Inscription obligatoire :
https://habitatdurable.ch/events/bien-etre-energetique-et-habitat/

Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc est un fameux architecte du 19ème, né le 27 janvier 1814 à Paris. Il termine sa vie à Lausanne en 1879.
Il a, à son actif, la restauration de grands monuments médiévaux tels que le Mont St-Michel, la cathédrale Notre-Dame de Paris, la cité de Carcassonne, pour ne citer que les plus emblématiques.
En 1874, il entreprend son dernier chantier, à la cathédrale de Lausanne. Il y remplace notamment la flèche de la tour lanterne. En clin d’œil, il est d’ailleurs représenté sur le portail de Montfaucon par la deuxième statue depuis la droite.
Souvent décrié par certains pour ses restaurations jugées arbitraires, et parfois quelque peu fantaisistes, il a été encensé par d’autres pour son génie et sa créativité.
On le dit aussi parfois franc-maçon ou initié par d'autres confréries.
La question que je me pose est donc la suivante : Viollet-le-Duc a-t-il fait perdurer dans son œuvre des connaissances transmises par des Maîtres initiés, tel qu’il en parle dans son livre « histoire d’une maison » ?
J’entreprends de vérifier cette hypothèse, remplie d’espoirs de découvertes et d’enseignements nouveaux.
A Lausanne, outre la rénovation de la cathédrale, il a été mandaté par l'église écossaise pour la construction d'une chapelle dans le style gothique. Elle se trouve encore aujourd’hui sur l'avenue de Rumine. Elle fut construite en 1876. Ce lieu est idéal pour mes recherches.

En effet, la géobiologie va me permettre d'analyser les paramètres telluriques et énergétiques de cette construction et vérifier si Viollet-le-Duc y a respecté et mis en place les agencements observés sur de nombreux site sacrés anciens.

Depuis les civilisations anciennes du néolithique et jusqu’au temps des cathédrales au XIIème siècle, les humains ont systématiquement définis leurs lieux de cultes selon un agencement et des conditions précises.
Certaines variables sont propres à des cultures et des civilisations et d’autres se retrouvent à travers les lieux et les âges.
Au moyen-âge, les constructions sacrées sont édifiées comme des outils énergétiques qui permettent de relier l’humain aux forces telluriques et cosmiques, grâce à des phénomènes énergétiques reconnaissables.
Je vais donc vérifier leur présence.
En premier lieu il devrait y avoir des veines d'eaux souterraines orientées. comment ? Celles-ci devrait passer sous l’autel. Sur le terrain, à l’aide du pendule, des baguettes en cuivre et des baguettes de sourcier en coudrier… je ne détecte ni veine d’eau, ni même de mémoire d’eau.
Je poursuis mes analyses. Je m’attends en suite à un agencement de résilles. Celles-ci sont une émanation d’énergie provenant du centre de la terre. Elles sont présentes à la surface comme un filet dont les mailles sont plus ou moins grandes. On parle souvent des résilles de fer du Dr Curry ou celles du nickel du Dr Hartmann. Il en existe une quarantaine environ.
Dans les lieux remarquables du moyen-âge, leur agencement est finement organisé. Des croisements, à des points clés de l’édifice, lui confère une qualité élevée et lui donne son caractère propre.
Mais dans l’église écossaise de Lausanne, je ne trouve rien de particulier. Les résilles sont agencées de la même façon que dans n’importe quelle habitation moderne.
Par acquis de conscience, je terminer mon investigation en mesurant, à l’aide de mon pendule, le taux vibratoire dans cet édifice. Le taux vibratoire, mesure la qualité énergétique d’un lieu ou de toute matière. Dans une construction d’initié, le taux vibratoire est élevé. Et une fois encore, je ne mesure ici rien d’exceptionnel.
Il peut arriver que des travaux importants détruisent le travail énergétique mis en place initialement. Mais l’église en question n’en a pas subit de conséquente depuis sa construction.
La réponse est donc tranchée. Notre cher Eugène ne nous a pas fait profiter ici d’un travail d’initié. Il serait bon de vérifier sur d’autres de ses constructions si ce constat se retrouve, avant d’en conclure que le célèbre architecte ne possédait aucune connaissance du monde subtile.
Un peu déçue mais malgré tout contente de comprendre, je remballe, assez rapidement, pendule et baguettes.

Marie-Claude

Eglise du Prieuré Pully


Au centre de Pully, petit village au bord du lac Léman, se trouve
l'église du Prieuré.(ajouter plan ou photo ?)

Le panorama y est exceptionnel. Au loin sur la gauche, vous pouvez distinguer une montagne mythique : le Catogne, qui a d'ailleurs inspiré le réalisateur du film du Seigneur des anneaux.


Je vous propose de vous installer sur le dernier banc à l'est de la place côté lac. La fissure de la balustrade en béton vous indiquera le lieu précis.


Bien détendu-e et centré-e sur les sensations corporelles, restez à l’écoute.
Le ressenti dans le corps peut-être comme un pépillement, une coloration
chaude. L'esprit peut partir librement rejoindre l’immensité de l'eau présente et du lac.


Il est facile de ressentir l'énergie du Rhône, la collecte de toutes les eaux des montagnes qui viennent alimenter cette immensité.


Et si vous vous tourniez maintenant en direction de Genève et laissiez partir votre
imagination le long de ce long fleuve qui arrivera dans la mer méditerranée.


Je vous y souhaite bon voyage…


A la rencontre d'un arbre

Comme un ami bienveillant, un vieux sage, une belle âme, l’arbre offre une présence précieuse, l’occasion de belles rencontres.

Par sa morphologie même, l’arbre est un trait d’union entre ciel et terre. Ses racines plongent dans le monde souterrain et ses branches s’envolent vers la lumière. Il se gorge de part et d’autres des énergies, de la vitalité physique et subtile, de son environnement.

L’Humain, avec sa position verticale, vit aussi ce lien ciel/terre. Mais le mouvement, le rythme de vie, en  amenuisent l’intensité. Il peut même nous arriver, si nous y prêtons attention, de nous sentir déraciné, hors sol, comme hors de nous-même.

La connexion avec un arbre va permettre de se recentrer, d’ajuster son rythme, de renforcer l’ancrage et l’ouverture et de recevoir l’énergie et les messages de l’arbre.

Choisir son arbre 

Arbre des  villes, arbres des montagnes, arbre solitaire ou de forêt, arbre de rivière, arbre fruitier, chaque arbre, comme chaque personne, aura sa personnalité.

Nul besoin de faire des kilomètres à la recherche de l’exceptionnel. Le plus simple végétal, petit ou grand, vous offrira sa présence. 

En expérimentant, j’ai fait de merveilleuses rencontres avec les platanes citadins, par exemple. J’aime aussi beaucoup la vitalité et la fraîcheur pétillante d’un petit pêcher qui pousse dans mon jardin.

Il est préférable, au début, d’éviter les conifères. Il arrive assez souvent que ces arbres passeurs d’âmes soient occupés à cette fonction qui pourrait être perturbée par notre connexion. Dans le doute, il est donc plus avisé de se diriger vers un feuillu.

Comment faire

Vous pouvez, évidemment, approcher des arbres sans aucune démarche particulière. Il ne se passera alors rien de particulier, à moins que vous n’ayez une connexion naturelle, innée, avec ces êtres végétaux. Ceci est assez souvent le cas pour les enfants, par exemple.

Pour faire l’expérience d’une rencontre pleine de vie, quelques astuces peuvent se révéler bénéfiques.

Avant de vous approcher de l’arbre, prenez quelques instant pour sentir votre propre présence, le rythme de votre respiration. Si vous savez le faire, vous pouvez vérifier la densité de votre aura et de vos chakras.

Vous pouvez alors, par la pensée, demander si vous êtes bienvenu-e auprès de cet arbre. Vous pouvez vérifier la réponse avec un pendule ou des baguettes, mais également avec votre propre corps. Si votre aura devient plus grande, que vous êtes attiré-e vers l’avant ou simplement que vous sentez de la joie en vous, vous pouvez vous considérer comme invité-e.

Avant de s’élancer vers son nouvel ami, il est préférable de prendre le temps de ressentir l’arbre à distance. Vous pouvez en observer l’aspect visuel et remarquer ce que cela vous fait ressentir. Vous pouvez également sentir l’aura de l’arbre et prendre le temps d’en percevoir la spécificité. Selon les sens qui vous sont les plus confortables, vous pourrez en remarquer la texture, la vibration, la lumière, le parfum ou la musique.
Les yeux fermés, vous ressentirez également les émotions éveillées par la présence subtile de l’arbre.
Ce temps à distance est vraiment précieux pour la connexion subtile. Il permet de s’ajuster, dans sa vibration, avec l’être végétal que l’on approche. Pour ma part, je sens généralement un ralentissement à l’intérieur de moi. Le son de ma vibration devient plus grave et ma lumière plus douce et rayonnante, surtout avec les grands chênes ou les hêtres.

Une fois cette connexion établie, vous pouvez très bien vous laisser simplement guider par l’arbre. Sans aucune réflexion, vous vous laisser agir selon votre intuition, votre élan, votre envie, selon vos besoins et votre état d’âme du moment.

S’il y est disposé, embrasser l’arbre apporte une dose d’amour inconditionnel. Y apposer le front calme et libère les pensées. 
Pour ma part, ce que j’aime par-dessus tout est de m’adosser à l’arbre et de me fondre dans ses racines, son tronc et ses branches. Ceci permet de sentir l’alignement, la force de vie et le calme immuable de l’arbre qui, saison après saison, se déploie au même endroit.

Vous pouvez aussi, après vous être déposé-e au pied de l’arbre, lui soumettre une question qui vous habite. Vous pouvez alors laisser infuser cette question dans la relation avec l’arbre, et vous mettre en posture de réception, de contemplation, avec tous vos sens. Peut-être recevrez-vous alors un éclairage nouveau, une inspiration sylvestre, quant à votre préoccupation.

Et après ?

Avant de vous séparer de votre ami-e à feuilles, vous pouvez lui dire « au revoir et merci », simplement avec votre ressenti sincère. Si vous le souhaitez, pourquoi ne pas lui laisser une offrande, pour autant qu’elle soit naturelle et compatible avec le milieu dans lequel elle est déposée. Une plume, quelques amandes, un peu de thé, peuvent constituer des offrandes adaptées. Leur valeur sera surtout celle de l’intention et de la vibration que vous y placerez.

Une fois sorti-e de la sphère de l’arbre, portez attention à votre nouvel état. Vous pouvez vous demander comment vous vous sentez, physiquement, émotionnellement, spirituellement. Vous pouvez imprimer dans votre mémoire et votre conscience les éléments particulièrement significatifs, que vous souhaitez garder avec vous pour les heures, les jours à venir ou jusqu’à votre prochaine visite.

A force d’expérimenter, vous rencontrerez certainement des êtres végétaux avec lesquels vous nouerez une relation privilégiée. Avec eux, la connexion est immédiate et peut même se faire à distance. Ils vous apporteront alors une ressource précieuse et continue.
J’ai rencontré, lors d’un voyage aux Etats-Unis, un petit arbre, dans la région Navajo de monument Valley. La rencontre fut brève, mais fulgurante. Il m’a permis de me connecter à tout le vivant d’une large zone. Il a éveillé dans mes cellules l’instinct animal de l’appartenance à un système dont je ne suis qu’une particule. Malgré la distance, la présence de cette rencontre demeure et je peux la raviver lorsque je le souhaite.



Tine de Conflens - La Sarraz

Balade depuis la Migros de Ferreyres, la tine de Conflens tient son nom du patois vaudois qui signifie la chute des confluents, la Venoge et le Veyron.
Après une demi heure de balade dans la forêt, le chemin débouche sur un lieu magnifique. Les cascades impressionnantes ont formé un cirque rocheux, un escalier creusé dans la roche permet de s‘approcher de l‘eau et lorsque les eaux sont basses ont peut accéder à une grotte. Le temps reste suspendu dans ce coin de nature idyllique.
Au printemps, les eaux sont souvent tempétueuses, elles seront plus calmes dès l’automne.
En plein été, il y a parfois beaucoup de monde et ce n’est pas la meilleure période pour venir le weekend, à moins de s’y rendre de bonne heure.

Pour entrer en contact avec ce lieu, vous pouvez choisir un point sur lequel vous vous sentez bien. Vous pouvez observer d’abord avec vos yeux et les laisser se poser librement. Vous vous laissez vous mettre au diapason avec ce qui vous entoure.
Prenez conscience de votre état d’être : sensation, sentiment.
Vous pouvez refaire l’expérience depuis un autre point et observer ce qui se passe pour vous.

Dans ce lieu particulier, cela vaut la peine de prendre un temps pour porter sa conscience sur l’eau, son énergie, son bruit, son odeur, sa température.
Vous pouvez également porter votre conscience sur les roches et sentir ce qui s’en dégage, ce que
vous sentez lorsque votre conscience est concentrée sur elles. Ce qui est différent/identique par rapport à ce qui se dégage de l’eau.

Nous vous souhaitons de merveilleux moments dans ce lieu enchanteur.



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A la croisée des lieux Ch. des Cèdres 15 1004 Lausanne 079 740 62 82
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